❝ Vous vous demandiez quelles étaient les raisons de l’existence des Karuta, cette femme froide et ces quatre hommes autoritaires ? Il y en a bien d’autres, qu’ils ne révèleront sans doute jamais. Mais ils ont décidé de s’unir pour percer, devenir des personnes respectées et admirées, des gens qui ont réussi et ce sans l’influence de leurs illustres familles. C’est ainsi qu’à la fin de leurs études, ils ont rachetés leur université et l’ont transformé en école de renom.

Leur projet ? La Karuta Talent School.

Il s’agit d’une école permettant aux étudiants inscrits d’avoir un enseignement et un entrainement poussé dans un des domaines suivants : chant, danse, musique, mannequinat et art de la scène (acteur ou intermittents du spectacle). Chaque ancien Karuta est le directeur d’une section : pour Jin Akanishi c’est la danse ; pour Meisa Kuroki c’est le mannequinat ; pour Koki Tanaka c’est l’art de la scène ; pour Ryo Nishikido c’est la musique et pour Shigeaki Kato c’est le chant. Mais ne pensez pas qu’ils sont devenus plus tendres. Les Directeurs n’acceptent que ceux qui ont ce petit quelque chose et leur objectif c’est de vous faire grandir, que vous deveniez des pointures dans votre domaine … dans le seul but d’augmenter leur business. Les auditions ne sont donc que le commencement. Le mot d’ordre est « excellence » et pour y arriver, la Karuta Talent School est adepte de la rigueur et de l’effort.

Mais avant d’être cette école qui est sur toutes les lèvres, les Directeurs ont dû ramer et faire preuve d’ingéniosité et d’originalité. Marketing, concept, politique de la maison, aménagement de leur ancienne université … tout était bon pourvu qu’on les reconnaissance et qu’ils deviennent numéro 1. Alors ils ont couru après les journalistes, sont partis chercher des idées à l’étranger, on fait marcher leur relation. Mais au bout de 5ans, leurs efforts ont finalement payé et les voilà au sommet.

La Karuta Talent School, c’est le top du top.

Mais la ville de Tokyo n’est pas faite que de la Karuta Talent School. Journalistes et réseau de mafieux ont aussi leur mot à dire. Tokyo No Manoko est un quotidien respecté. Leurs articles font mouches et les informations communiquées sont toujours succulentes. De quoi pimenter le quotidien de la capitale. Les journalistes sont triés sur le volet. Il y a ceux qui percent et ceux qui se font exploiter. Petits chroniqueurs ou chef de projet, il y aura toujours une place pour vous, à condition que vous vous battiez pour la garder. Car Tokyo No Manoko, c’est l’œil de la ville. Leurs cibles favorites sont bien évidemment l’école des Karuta, mais certains s’intéressent aux noirceurs de la ville, le côté le plus sale : les Kurumaku. Véritable réseau mafieux comprenant la pire espèce de la ville (Yakuza, dealer, trafiquants …) mais aussi des génies qui ont basculés de l’autre côté, la Kurumaku Corp est une organisation très connue au Japon et particulièrement à Tokyo, mais la police n’ose pas trop s’y frotter. On les laisse vivre leur vie. Après tout, eux aussi font du profit et participent à la croissance économique de la ville. Alors s’il leur arrive de « liquider » quelques personnes, c’est le prix à payer.

Alliés ou ennemis des Directeurs, entre combines et coup fourrés, trafic et articles, la vie à Tokyo est assez animée.

Alors, êtes-vous prêt à faire vos preuves et devenir un jour une célébrité ou plutôt intégrer le staff ? Feriez-vous partie de ceux qui préfèrent se faire de l’argent facilement, ou avez-vous la plume facile ? ❞

Année : 2017.
Emplacement : Shibuya